Parler de sa sexualité n’est jamais simple ou facile. Aborder la sexualité doit se faire avec respect et bienveillance envers soi et envers l’autre.
On peut parler de problème sexuel dès que quelque chose inquiète, complexe, ou fait souffrir. C’est l’importance de la gêne occasionnée, en durée et en intensité qui va être décisif dans le fait d’entreprendre une sexothérapie.
Plus le problème « traine en longueur » et se répète, plus il envahit les pensées, parasite la vie quotidienne et la vie de couple, allant jusqu’à entrainer différents maux physiques ou psychologiques.
La sexualité humaine est un long apprentissage : contrôler son excitation, faire naître le désir, se laisser aller à l’orgasme : c’est tout un art.
Si l’acte purement sexuel, la pénétration, est naturel, le jeu amoureux et érotique s’apprend, s’acquiert et se cultive.
En matière de sexualité, il n’y a pas de règles universelles, de lois immuables, il y a des différences, des variations, des oppositions qui enrichissent le comportement sexuel de chacun.
Il n’y a pas de sexualité « normale ». Il y a une sexualité satisfaisante pour chacun, respectueuse de soi, de l’autre, et épanouissante pour le couple
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Les difficultés sexuelles d’ordre organique sont du ressort de la médecine, et si c’est votre cas, je vous inviterai à en discuter avec votre médecin traitant.
Les difficultés d’ordre fonctionnel, que je prends en charge sont les suivantes :
Dans ma pratique sexothérapeutique, je m’appuie sur l’approche centrée sur la personne, la sexofonctionelle, la sophrologie, la méditation, l’hypnose conversationelle. Chaque pratique vient enrichir l’autre et me permet d’adapter la thérapie au plus près des besoins spécifiques de la personne qui vient me consulter.
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